Une rentrée à la hauteur pour les orchestres de la capitale

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À Paris, les formations et leurs chefs ont prouvé une fois de plus que la différence apporte de la complémentarité.

Ce sont deux des plus grandes violonistes de notre époque: Lisa Batiashvili et Julia Fischer. La première jouait le Concerto de Tchaïkovski pour la rentrée de l’Orchestre de Paris à la Philharmonie, la seconde celui de Brahms pour celle de l’Orchestre national de France à la Maison de la radio. Allions-nous vérifier la thèse de la standardisation, selon laquelle les personnalités seraient devenues interchangeables? La réponse est non! Mercredi, la Géorgienne offre un jeu tout en grâce lumineuse, faisant chanter et danser l’archet avec une sensualité raffinée. Jeudi, l’Allemande se campe fermement sur ses jambes pour un jeu très ancré, compact quoique sans lourdeur: un violon homogène et sérieux, très architecturé.

Deux solistes aux différences parfaitement complémentaires! Tout comme les orchestres et chefs de la capitale. Rentrée en fanfare pour l’Orchestre de Paris avec Klaus Mäkelä. Oublions les deux œuvres chorales du Letton Peteris Vasks: c’est de la soupe. Mais c’est beaucoup plus…

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