«Une fois un échafaudage monté, on découvre d’autres éléments à revoir» : le difficile et coûteux chantier de la cathédrale de Nantes

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REPORTAGE – En juillet 2020, l’édifice avait été incendié par un bénévole en charge de sa fermeture. Complexe, la reconstruction s’effectue lentement et la facture a flambé.

À Nantes

Trente-cinq mètres d’échafaudage tiennent sous leurs pieds. Collés au plafond du transept de la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes, les deux ouvriers ne tremblent pas. Pierre après pierre, pesant environ 40 kilos pièce, ils reconstituent une voûte. « Quand on travaille ici, on est très engagés, car c’est bien plus physique et laborieux qu’un autre chantier », affirme le tailleur de pierre Thierry Galloyer, casque vissé sur la tête.

Promiscuité oblige, seuls vingt ouvriers peuvent travailler ensemble à cette phase de la restauration. Qui débouchera, après de multiples reports, sur l’ouverture très partielle d’une porte latérale et de son cœur, le 29 septembre 2025. Soit plus de cinq ans après l’incendie criminel qui avait ravagé l’édifice. « La fête sera belle pour les Nantais et les catholiques quand rouvriront les portes et retentiront les cloches », se projette, depuis le parvis, Mgr Laurent Percerou, évêque…

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