«Totalement obsolètes»: l’Australie en passe d’abandonner les filets antirequins

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De plus en plus de voix réclament leur suppression, tant ils sont jugés inefficaces et nocifs. D’autres méthodes sont progressivement adoptées pour protéger les baigneurs sans menacer la biodiversité marine.

Protéger les baigneurs de l’appétit des squales. C’est une louable intention qui, dans les années 1930, avait animé les autorités de Nouvelle-Galles du Sud, alors premières à déployer des filets antirequins. Une menace bien réelle : on dénombre chaque année sur les côtes australiennes dix à quinze attaques, parfois fatales (le dernier décès remonte à 2022). Ce moyen de protection est pourtant largement remis en cause aujourd’hui par des scientifiques, des ONG et quelques personnalités politiques. Et leur voix commence à porter. Le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud a consenti à retirer les filets un mois plus tôt que prévu, dès le 31 mars, pour faciliter la ponte des tortues marines dès le mois d’avril.

Car outre les risques qu’ils présentent pour les requins, dont la population dans le monde a chuté de plus de 70 % au cours des cinquante dernières années, ces filets sont aussi une menace pour d’autres espèces marines. D’après le bilan dressé l’été dernier, plus…

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