Thierry Frémaux : « Le judo m’a donné confiance en moi »

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L’ART DU SPORT – Ulcéré par le «JO bashing», le délégué général du Festival de Cannes se félicite du retour de la manifestation à Paris après 100 ans d’absence.

Le délégué général du Festival de Cannes et directeur de l’Institut Lumière est plus qu’un amateur éclairé de sport. Thierry Frémaux a longtemps pratiqué et enseigné le judo. Ceinture noire, 4e dan, il a raconté cette autre passion dans Judoka (éditions Stock), autoportrait d’un cinéphile en kimono.

LE FIGARO.- Les Jeux olympiques à Paris, vous les attendiez avec beaucoup d’excitation ?

Thierry FRÉMAUX.- Bien sûr. Je n’en pouvais plus du JO bashing. Même si les enjeux (technique, sécuritaire, financier, écologique) de ces énormes événements posent question. En 1978, il ne fallait pas choisir que la Coupe du monde de football se tienne en Argentine, où la dictature torturait ses opposants à quelques mètres du stade. Mais faire les Jeux à Paris, 100 ans après 1924, c’est formidable. En vérité, je suis pour que les JO reviennent tous les quatre ans dans leur ville d’origine : Olympie, en Grèce. Le festival de Cannes se déroule chaque année dans des installations pérennes, ça pourrait…

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