Spécialisée dans le poulet frit, l’enseigne américaine va s’implanter dans l’Hexagone d’ici à la fin de l’été, en s’appuyant sur les fondateurs de O’Tacos. Elle ouvrira d’abord des «dark kitchens» à Paris.
Les effluves de poulet frit enrobent les alentours de La Caserne, derrière la Gare de l’Est, devant laquelle des dizaines de personnes font la queue pour entrer. Depuis le début des JO de Paris, cette ancienne caserne de pompiers reconvertie en espace événementiel accueille un restaurant éphémère de la chaîne de fast-food américaine Wingstop. L’enseigne a voulu profiter de ce moment festif pour se faire connaître des Parisiens en leur proposant des animations (musique, terrain de basket, tatouage, boîte de nuit…) et surtout de pouvoir goûter gratuitement à sa carte.
Le seuil de 50.000 personnes attendues sur les deux semaines d’ouverture a été atteint en 10 jours. «La demande a largement dépassé ce que nous attendions», sourit Raj Kapoor, président en charge de l’international chez Wingstop. L’expérience a conforté la chaîne dans sa stratégie d’expansion, l’Hexagone étant sa prochaine cible. «Plus qu’un test, c’est une validation que la France est un marché avec de grandes…
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