« À chaque fois que je viens à Calais, il pleut ! » Les Runners, qui s’occupent de la sécurité pendant le relais de la flamme paralympique, ont encore en mémoire le passage de la flamme olympique, le 3 juillet, sous une pluie battante. Mais cette fois, au moment de l’apparition d’Emmanuelle Assmann, l’ancienne présidente du Comité paralympique et sportif français (CPRF) et capitaine du relais collectif qui a apporté la flamme paralympique depuis l’Angleterre, le soleil est enfin de retour. Pour de bon cette fois.
Comme à Marseille (Bouches-du-Rhône) le 8 mai, Calais (Pas-de-Calais) est la première ville à accueillir la flamme paralympique sur le sol français. Un clin d’œil pour une cité qui fait souvent davantage parler d’elle pour des sujets d’immigration illégale. « C’est tout un symbole que la flamme arrive par notre ville avec tous les problèmes qu’on peut connaître, se réjouit Natacha Bouchart, la maire de Calais. Nous avons voulu montrer que malgré la difficulté, on est capable d’avoir de l’humanité et de vivre un grand moment de partage. »
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