Aux commandes, Jasmine et Guy Maingault, 60 et 63 ans, tous deux issus d’une longue lignée de bateliers. « Nous nous sommes rencontrés à l’école », sourit le commandant en regardant sa « matelote ». Quand les parents naviguent, les enfants étudient en internat. Leur fils, désormais adulte, est lui-même devenu commandant d’un « pousseur » sur la Seine. Il n’empêche, ces passionnés sont catégoriques : « Pendant les JO, on ne sera pas sur l’eau, ce sera bien trop galère », confie Guy tout en manœuvrant sa péniche, le pied nu sur le gouvernail.
#Paris #auratil #pain #pour #les #Jeux #olympiques