Le recul attendu du loyer de l’argent, impulsé par les Banques centrales, va mécaniquement faire chuter les rendements de cette classe d’actifs, mais il n’est pas trop tard pour en souscrire.
La flambée des taux de ces derniers mois n’a pas fait que renchérir le coût des prêts immobiliers. Elle a aussi redonné du peps aux obligations – ces titres de dette d’États ou d’entreprises – , que les particuliers peuvent souscrire le plus souvent via des fonds en assurance-vie. À la clé, des rémunérations alléchantes, de l’ordre de 4 à 5 % brut pour un risque mesuré. De quoi aiguiser l’appétit des épargnants, qui ont vu la valeur de leurs actions baisser en Bourse ou qui subissent de plein fouet la crise qui touche les placements immobiliers (SCPI, SCI…). «Les obligations, c’est le meilleur couple rendement risque du moment», fait valoir Jérémy Blackwell, directeur gestion privée de la banque privée Hottinguer.
Cette oasis pour les épargnants va-t-elle perdurer? Probablement pas longtemps encore. La rémunération d’une obligation dépend de la durée de souscription ainsi que de la solidité de l’émetteur – par exemple une entreprise coté ou un État. Pour autant, c’est surtout le coût de…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 78% à découvrir.
#Obligations #dernières #opportunités #avant #baisse #des #taux
Source link
Home