Notre critique du film MaXXXine: un sous-genre de film d’horreur

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CRITIQUE – Nostalgique des années 1980, le troisième volet de la trilogie réalisée par Ti West met en scène une actrice porno à Hollywood.

MaXXXine est le dernier volet d’une trilogie écrite et mise en scène par l’Américain Ti West. Si on a manqué les deux premiers épisodes, ça fait une belle jambe. On n’a pas l’impression d’avoir raté grand-chose. Sans avoir vu X et Pearl, on comprend très vite de quoi il retourne dans ce slasher – sous-genre du film d’horreur dans lequel un psychopathe commet des crimes abominables – nostalgique des années 1980 dès son générique vintage et sa musique synthétique.

Maxine (Mia Goth), actrice de films porno («films pour adultes», dit son agent), aspire à mieux à Hollywood. Elle passe et réussit une audition pour La Puritaine II, premier film d’épouvante d’une réalisatrice jouée par Elizabeth Debicki (la Diana dernière période de The Crown ). En ville, Night Stalker (le traqueur de la nuit) trucide des femmes.

Ambiance paranoïaque

Les amies et collègues de Maxine disparaissent mystérieusement lors de fêtes dans une villa sur les collines. L’ambiance est légèrement paranoïaque. Maxine reste zen. Elle sait se défendre…

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