Notre critique de Les Graines du figuier sauvage, un vibrant hommage aux femmes iraniennes

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Le réalisateur iranien Mohammad Rasoulof raconte, dans un mélange de fiction et de documentaire, la rage des femmes iraniennes qui se révoltent depuis la mort de la jeune Mahsa Amini en 2022.

C’est l’histoire d’une famille iranienne, déchirée et déchirante. L’histoire d’un père, promu juge d’instruction, et de ses deux filles, dont la destinée croise celle du mouvement Femme, Vie, Liberté, après l’arrestation, puis la mort, de Mahsa Amini pour un voile mal ajusté. Dès lors, comment concilier sous un même toit deux visions opposées? Comment chanter la liberté quand le paternel contribue à l’étouffer?

Iman, costume noir et chemise sans col, n’en voit que par ses nouvelles fonctions, fruit de sa loyauté envers la République islamique. Ses responsabilités au sein du tribunal révolutionnaire de Téhéran sont lourdes à porter: il doit prononcer les condamnations, parfois les exécutions capitales, des mêmes manifestants que les deux adolescentes rebelles rêvent de rejoindre.

Tiraillé entre sa loyauté envers le régime et sa part d’humanité, Iman fait pourtant le choix des armes et des tyrans. Mais il est loin d’imaginer que ses filles, Rezvan et Sana, à qui il interdit de sortir protester…

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