Long Island, de Colm Toibin: la famille, ce qu’il y a de pire

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CRITIQUE – Dans son nouveau roman, l’écrivain irlandais remet en scène l’héroïne de Brooklyn. Avec plus ou moins de bonheur.

«Et pendant que le train, durant sa course vers Wexford, laissait derrière lui le pont de Macmine, Eilis imagina les années à venir (…) puis ferma les yeux et essaya de ne plus rien imaginer d’autre.» C’est sur ces mots que s’achevait Brooklyn, roman dans lequel Colm Toibin avait brossé un superbe portrait de femme, Eilis, une jeune Irlandaise exilée à New York, revenue brièvement au début des années 1950 à Enniscorthy, comté de Wexford, avant de repartir dans sa patrie d’accueil. Colm Toibin a donc prêté l’oreille au désir de sa protagoniste, puisque nous la retrouvons dans «les années à venir», au début des seventies, toujours à Long Island, mais plus à l’est, dans la bourgade de Lindenhurst.

Paru en 2009, Brooklyn (qui vient d’être réédité au Livre de poche), nous faisait découvrir la jeune Eilis, débarquée aux États-Unis à 20 ans, mariée à un plombier italo-américain, Tony Fiorello. Seul événement notable de sa vie: avoir eu une liaison clandestine avec un patron de pub, Jim Farrell…

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