Comment expliquer un tel ressenti après de simples compétitions sportives, vécues, pour une majorité, derrière un écran de télévision ? « C’est le propre des Jeux, avance Jean-François Pradeau, professeur de philosophie à l’Université de Lyon. Ce sont des moments sportifs très brefs avec beaucoup d’intensité qui harmonisent les sentiments et donnent une direction commune, comme quand on suit Léon Marchand et qu’on se dit trop génial, il va gagner la course ! Des scènes qui contrastent avec la vie sociale très dure, avec beaucoup d’inégalités et de divisions. »
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