Les larmes amères d’un candidat de «Pékin Express : L’épopée des Maharadjas »

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La troisième étape indienne du jeu de M6, reliant Jaipur à Kinshangargh ne s’est pas déroulée sans heurts pour certains candidats. Fabrice, coéquipier de Briac, s’est effondré, en pleurs.

Grosse déprime ce samedi 28 septembre pendant le troisième épisode du jeu d’aventures de M6, «Prékin Express : l’épopée des maharadjas », l’édition All Stars, disputée entre Christophe et Claire, Clément et Emeline, Jean-Claude et Axel, mais aussi Rose-Marie et Cinzia, ou encore Briac et Fabrice. Ce dernier, apprécié notamment pour son tempérament optimiste, a flanché. Ce sont des choses qui arrivent… 

Hier, au cinquième jour de l’épopée, lors de la troisième étape indienne reliant Jaipur à Kinshangargh, les nerfs du jeune homme ont lâché, provoquant un effondrement auquel personne ne s’attendait. D’autant moins qu’un peu plus tôt dans le déroulement de l’épreuve, et bien que mal placés, le tandem qu’il forme avec Briac semblait encore plein d’allant. «On est dernier mais rien n’est jamais perdu», disait-il alors.

Puis d’ajouter : «Il n’y a pas de raison que cela ne sous sourit pas cette fois». Mais dans la voiture qui les a pris en stop pour les aider dans leur progression, l’ambiance s’est brusquement considérablement dégradée. Arrivés à l’entrée de la ville, sans aide ni chauffeur depuis 20 minutes, et alors que les autres équipes progressaient, sous les encouragements de Stéphane Rotenberg, les deux garçons ont perdu espoir. 

Sac de nœuds

« On est dans un sac de nœuds, là, je t’explique même pas», a soudain réalisé Fabrice. «Je ne sais plus quoi faire, je suis complètement démuni et abattu (…) Cela paraît tellement simple pour les autres. Et nous, on galère, on galère et là je suis désespéré, je n’ai plus de jus, j’ai le moral dans les chaussettes », a-t-il ajouté.

Et de se lamenter plus encore : «Je suis sans cesse en train de me demander qu’est-ce que j’aurais pu faire pour faire bien. Je n’y arrive pas (…) Je m’en veux tellement, je me sens complètement démuni, je ne sers à rien, je ne provoque rien, je ne sers à rien du tout. À rien. Ce n’est pas dans ma nature ça, je suis un gagnant. J’ai peut-être vieilli, je n’ai peut-être plus la niaque que j’avais, je ne sais pas ». 

Pauvre Fabrice. Et pauvre Briac, tout déconfit par la chute de moral de son camarade de jeu. « Cela me fait mal de le voir comme ça, c’est toujours Fabrice qui est dans la bonne humeur, qui tient le binôme. Et là, si mon Fab n’est pas positif, ce n’est pas possible », a-t-il déploré. Cet incident n’est pas le premier dans l’histoire des jeux. Entre la fatigue engendrée par les étapes successives et la pression du gain, les candidats sont soumis à bien rude épreuve. 

Suite au prochain épisode…



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