Les droits de douane des véhicules électriques chinois au centre des discussions entre les Vingt-Sept

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En appelant mercredi la Commission européenne à «reconsidérer» son projet de surtaxer les véhicules électriques chinois, le premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, a jeté un froid.

À Bruxelles

Le front se fissure-t-il ? Alors que la Commission européenne avance sérieusement vers l’imposition dès ce mois de novembre de surtaxes sur les véhicules électriques chinois, et cela pendant cinq ans, le premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, a semé le doute, mercredi, en l’appelant à « reconsidérer » son projet. Et en se rapprochant par la même occasion de Berlin, opposé depuis le départ à ces mesures.

Madrid, comme Paris et Rome, est pourtant à l’origine de l’enquête anti-subsides lancée en 2023 par Bruxelles sur ces véhicules électriques chinois accusés d’inonder le marché européen et de casser la concurrence avec des prix attractifs. Début juillet, la Commission avait imposé des surtaxes temporaires sur cette base avant de confirmer en août les taux définitifs envisagés : 36,3%, 17% et 19,3% pour Saic, BYD et Geely. Des taux qu’elle a d’ailleurs encore légèrement ajustés à la baisse depuis et qui restent loin des 100% de…

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