Les constructeurs européens demandent un répit sur l’automobile électrique

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DÉCRYPTAGE – Plusieurs industriels s’alarment des amendes qu’ils devront payer en 2025 faute d’avoir vendu assez de véhicules à batterie. D’aucuns reviennent à la charge sur 2035.

Parviendront-ils à échapper aux lourdes amendes de la Commission européenne prévues l’an prochain ? Renault, Stellantis, Volkswagen, BMW, Hyundai… Tous les constructeurs présents sur le Vieux Continent ont l’œil rivé sur le compteur d’émissions de CO2 cumulées de leurs véhicules vendus. Leur première urgence est à 2025, dix ans avant le grand saut de 2035 qui marquera la fin des ventes de voitures thermiques neuves en Europe.

Jusqu’à présent, tous (exception faite de Bugatti en 2022) ont réussi à rester dans les clous des seuils d’émissions de CO2 fixés par l’Union depuis 2021. Mais la vis se resserre. À partir de janvier 2025, le seuil sera abaissé de 15 % pour atteindre une moyenne de 81 g de CO2 par véhicule et par kilomètre, contre 95 g les années précédentes. Pour le tenir, chaque groupe devra vendre un plus grand nombre de véhicules 100 % électriques (BEV) pour compenser les émissions moyennes des véhicules thermiques écoulés au cours de l’année, y compris…

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