L’«indice de rondeur corporelle», plus pertinent que l’IMC pour évaluer les risques liés au surpoids ?

Accueil » Le Figaro » L’«indice de rondeur corporelle», plus pertinent que l’IMC pour évaluer les risques liés au surpoids ?
Partager
En un demi-siècle, l’obésité a triplé dans le monde, un français sur deux étant désormais concerné.
BillionPhotos.com – stock.adobe.

DÉCRYPTAGE – Ce nouvel indice élaboré par des chercheurs internationaux prend mieux en compte la composition corporelle en «mauvaise» graisse et les dangers associés, notamment cardiovasculaires.

Ces dernières années, les cas de surpoids et l’obésité ont explosé à travers le monde, entraînant chez les personnes concernées une augmentation du risque de complications sévères : maladies cardiovasculaires, diabète ou encore de nombreuses formes de cancers. Pour surveiller le poids des patients, les médecins se basent sur l’indice de masse corporelle (IMC), qui se calcule en divisant le poids (en kilos) par la taille (en mètres) au carré. Ainsi, un adulte est considéré en surpoids quand son IMC est égal ou supérieur à 25, et obèse quand il est égal ou supérieur à 30.

Mais cet indice pourrait-il être détrôné dans la pratique médicale ? L’IMC a en effet ses limites : il ne prend pas en compte la teneur du corps en graisse, en particulier le « mauvais gras » qui s’installe en bas du ventre. Or, un excès de ce type de graisse dite « viscérale » est considéré comme un indicateur fiable du risque de complications associées à l’obésité. C’est pourquoi une équipe de chercheurs…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 82% à découvrir.

Vente Flash

1€ par mois pendant 3 mois. Sans engagement.

Déjà abonné ?
Connectez-vous

#Lindice #rondeur #corporelle #pertinent #lIMC #pour #évaluer #les #risques #liés #surpoids

Source link

Home

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut