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L’effet particulier du «beau» sur le cerveau humain

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Dans toutes les cultures, un paysage ouvert, lumineux, où l’on voit de l’eau s’écouler, est jugé beau.
Itza – stock.adobe.com

PSYCHOLOGIE – Si les goûts et les couleurs varient, il existe quand même des consensus universels relatifs à la beauté. Cette sensibilité humaine s’explique, notamment par les bénéfices qui en sont retirés.

Il n’y a qu’à voir l’engouement suscité par certains musiciens, artistes, mannequins, etc. pour se rendre à l’évidence : le beau fait recette ! Mais que se cache-t-il derrière l’expérience sensorielle du beau ? Et d’ailleurs, aime-t-on forcément ce qui est beau ? « Non, il peut y avoir une différence entre le jugement (c’est beau) et l’appréciation (j’aime, je n’aime pas) », répond le Dr Pierre Lemarquis, pianiste et neurologue, membre de l’académie des sciences de New York et auteur de l’ouvrage Les pouvoirs de la musique (éd. Odile Jacob).

En effet, pour fournir un jugement subjectif (goût personnel), le cerveau s’appuie sur les circuits du plaisir et de la récompense, et donc sur nos expériences passées, variables d’une personne à l’autre. Mais pour fournir un jugement objectif, plusieurs études laissent penser que le cerveau ferait intervenir d’autres circuits plus élaborés (dont celui de l’insula, responsable de l’empathie), beaucoup moins dépendants de nos propres…

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