L’air de nos maisons contient toujours trop de polluants

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La mesure de la teneur en CO2 est l’un des paramètres pris en compte pour évaluer la qualité de l’air d’un espace intérieur.
GIRTS
RAGELIS / Girts – stock.adobe.com

Des chercheurs du Centre scientifique et technique du bâtiment ont dévoilé les résultats de la seconde enquête nationale visant à évaluer la qualité de l’air dans les logements.

En moyenne, les Français passent 80 % de leur temps en intérieur, qu’ils s’agissent de leur logement, de leur lieu de travail ou de tout autre espace clos. Alors que les conséquences de l’exposition à la pollution extérieure ont fait l’objet d’innombrables investigations, celles sur les effets sanitaires liés à pollution de l’air intérieur restent à ce jour très peu documentés quand bien même cette pollution en milieu fermé a été reconnue comme un enjeu majeur de santé publique depuis le scandale de l’amiante.

En 2003, l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur (OQAI) dévoilait les résultats de la toute première campagne nationale visant à évaluer la qualité de l’air dans l’habitat et ses impacts sanitaires. À l’occasion du lancement du nouvel observatoire de la Qualité des Environnements Intérieurs (OQEI), ex-OQAI, la semaine dernière, Olivier Ramalho, ingénieur et chercheur en qualité de l’air au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), a dévoilé en avant-première les…

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