JO Paris 2024: plongée dans le soft power sportif

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UN LIVRE DANS LA COURSE – Lukas Aubin et Jean-Baptiste Guégan livrent une analyse des enjeux politiques et économiques des compétitions internationales.

«Depuis 2000, les JO d’été réunissent régulièrement plus de deux cents équipes olympiques, soit un nombre supérieur à celui des pays reconnus par l’ONU. Dorénavant, l’idéal olympique transcende les frontières et autorise les territoires subordonnés à des États à participer, permettant leur reconnaissance potentielle. À l’aune de la mondialisation, le sport devient hégémonique dans un monde fragmenté»: c’est une «géopolitique des sports» inédite qu’esquissent ici Lukas Aubin et Jean-Baptiste Guégan. Celle d’un monde où les organisations internationales (CIO, Fifa), les ligues professionnelles privées (NBA, MLB), les sociétés commerciales (Premier League), certains médias (Sky, beIN) et les firmes spécialisées dans le sport (Red Bull) sont plus riches que beaucoup d’États.

Le «régime de Macron», qui rêvait de soft power sportif en réunissant Antoine Dupont, Victor Wembanyama et Kylian Mbappé sur les bords de la Seine à l’occasion des JO, l’a vérifié à ses dépens. Avec son milliard d’euros…

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