« Je ne souhaite cela à personne » : Meghan Markle se confie avec émotion sur ses anciennes pensées suicidaires

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Avec émotion, elle est revenue sur cette période douloureuse. Pour son 43e anniversaire, ce dimanche, Meghan Markle a donné une interview à la chaîne américaine CBS, en compagnie de son mari Harry, pour promouvoir leur campagne « Parents Network », une initiative visant à améliorer la santé mentale des enfants en ligne.

À cette occasion, la duchesse de Sussex s’est confiée sur les pensées suicidaires qu’elle a eues par le passé, alors qu’elle était enceinte de son deuxième enfant. « Je ne souhaite cela à personne, je voudrais que jamais plus quelqu’un n’élabore ce type de stratégies dans sa tête, je voudrais que, plus jamais, quelqu’un ne soit pas cru », a-t-elle expliqué, la voix timbrée par l’émotion.

 

« Lorsque vous avez traversé un certain niveau de douleur ou de traumatisme, je crois qu’une partie de notre parcours de guérison – et certainement une partie du mien – consiste à pouvoir être vraiment ouvert sur le sujet », a poursuivi Meghan Markle. Elle a également dit espérer que le fait « d’exprimer ce qu’elle a surmonté » permette de « sauver » la vie de ceux qui traversent des épreuves de ce type, et « encourage leurs proches à leur venir en aide ».

 

Ces confessions s’inscrivent dans la continuité de l’interview qu’elle avait donnée à Oprah Winfrey en 2020, dans laquelle elle révélait avoir eu des pensées suicidaires pendant sa grossesse, alors qu’elle disait subir une intense pression au sein de la famille royale et blâmait la couverture (trop) intensive des médias britanniques. « Je ne voulais tout simplement plus être en vie. Et c’étaient des pensées constantes, terrifiantes, réelles et très claires », se confiait-elle notamment.

La campagne « Parents network », lancée par le duc et la duchesse de Sussex en partenariat avec la fondation Archewell, vise à aider les parents dont les enfants sont victimes de cyberharcèlement. « Je pense qu’il faut commencer quelque part, se demander : Et si c’était ma fille ? Et si c’était mon fils ? », a fait savoir Meghan Markle, estimant que, pour un parent, la seule façon d’envisager le problème était de commencer à chercher une solution.

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