«Je ne serais pas là sans elle» : la touchante déclaration de Tahar Rahim à sa mère dans «Sept à huit»

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Tahar Rahim dans «Sept à huit»
Capture écran

VIDÉO – L’acteur qui prêtera bientôt ses traits au chanteur Charles Aznavour a pu compter sur le soutient inconditionnel de sa mère dès le début de sa carrière, comme il l’explique à Audrey Crespo-Mara sur TF1.

Révélé en 2009 dans Un prophèteTahar Rahim sera bientôt Charles Aznavour au cinéma dans un biopic réalisé par Mehdi Idir et Grand Corps Malade. «Une immense personnalité, un immense artiste, impossible à atteindre», comme le définit l’acteur face à Audrey Crespo-Mara. «Il y a eu du travail pour trouver la bonne posture, bouger comme lui. Lui ressembler sans que je disparaisse totalement», poursuit-il.

Un rôle qui a nécessité quatre heures de maquillage tous les matins, des microprothèses et un engagement total de l’acteur jusque dans son quotidien. «J’en peux plus d’entendre Charles Aznavour qui engueule les enfants à l’autre bout de l’appartement, ça devient gênant», s’est amusé à déclarer sa femme l’actrice Leïla Bekhti. Une anecdote qui fait sourire Tahar Rahim sans pour autant s’étendre ce soir sur le sujet. Le couple est discret «pour se protéger».

Destins croisés

Dans ce portrait diffusé dans «Sept à huit», le parallèle avec l’interprète de La Bohème est évident. Deux enfants d’immigrés passionnés par leur art, l’un arménien, l’autre algérien, tous les deux éduqués dans la double culture. «L’Algérie à la maison, la France à l’extérieur et ça se mélangeait à l’entrée», se souvient Tahar Rahim. Pour Charles Aznavour, c’était la musique, pour ce cadet d’une famille de 10 enfants c’était le cinéma. «C’était un fantasme qui s’est transformé en rêve puis qui est devenu un besoin», explique Tahar Rahim qui trouve en sa mère son plus fidèle soutien.

Quand il décroche son premier casting, un petit rôle dans un clip, «elle s’est mise à pleurer comme si j’avais décroché un rôle chez Scorsese», s’amuse-t-il à raconter ce soir sur TF1. «Une décharge d’amour et de confiance inébranlable que personne n’égalera».

«Ma mère, je ne serais pas là sans elle. Elle m’a transmis toute la croyance et l’abnégation que j’ai pu développer au fil des années pour pouvoir caresser ce rêve», déclare Tahar Rahim qui se révèle beaucoup plus bavard sur celle qui lui a donné la vie.

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