«Je ne m'interdis pas une plus grande justice fiscale» : Michel Barnier fixe la dette de la France comme priorité

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Interrogé sur TF1 sur le déficit public abyssal, qui devrait se creuser encore à 5,6% du PIB cette année, le premier ministre a réaffirmé sa volonté de ne pas poursuivre les dérapages des gouvernements précédents.

Le nouveau premier ministre Michel Barnier a fixé vendredi 6 septembre parmi ses priorités de revaloriser le travail et ne pas augmenter la dette de la France, dans sa première interview sur TF1

Interrogé sur le déficit public abyssal, qui devrait se creuser encore à 5,6% du PIB cette année, le premier ministre nommé jeudi a répondu: «Face à cette urgence, je ne m’interdis pas une plus grande justice fiscale». «Je vais (m’) efforcer, avec les différents ministres qui seront nommés, de mieux maîtriser, de mieux utiliser l’argent public et de m’appuyer sur des services publics, parce que nous avons besoin de services publics efficaces», a-t-il ajouté.

«La croissance ne tombe pas du ciel»

«Il faut aussi de la croissance, la croissance (…) elle ne tombe pas du ciel, elle ne vient pas de l’administration, elle vient des entreprises, petites grandes ou moyennes, des agriculteurs, des pêcheurs, de notre commerce extérieur, du rôle des Français de l’étranger (…), de nos départements et de nos régions d’outre mer», a complété Michel Barnier. «Il y en a marre de faire des chèques en blanc sur les générations futures, à propos de l’écologie comme à propos des finances publiques», a-t-il développé.

Le chef du gouvernement a également cité les services publics qui «sont aussi un besoin immense dans les quartiers urbains, mais dans les campagnes aussi», reprenant ainsi les grandes lignes du «pacte législatif» présenté par son parti Les Républicains en juillet, dont il a besoin du soutien à l’Assemblée. «Je pense aux déserts médicaux et je pense naturellement à la santé et au logement», a-t-il affirmé, ajoutant la dette écologique dans ses priorités.

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