Instants classiques N°90 : bol d’airs de Paris pour la rentrée

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LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS – La « Douce France » du ténor olympique Benjamin Bernheim, une version du Requiem de Fauré à réveiller les morts, et la mélodie française revisitée au quatuor.

Chers abonnés,

Je suis ravi de vous retrouver pour cette nouvelle saison d’Instants Classiques. Saison que j’espère riche d’écoutes et (re)découvertes musicales. En cette rentrée encore marquée par les Jeux de Paris 2024 (qui jouent les prolongations jusqu’à la fin de cette semaine avec les Jeux paralympiques), la France est à l’honneur parmi les dernières sorties de disques. D’abord à travers le tout nouvel album de Benjamin Bernheim, qui joua les invités surprise lors de la cérémonie de clôture des JO pour une version revisitée de l’Hymne d’Apollon réharmonisé par Gabriel Fauré. Un album justement dédié à la mélodie française, et qui permet de retrouver le ténor franco-suisse dans un exercice plus intimiste que ses précédents opus : celui du récital avec piano. Récital tout en clair-obscur, mais qui sait aussi ouvrir sur des mondes aux mille couleurs (notamment chez Chausson). 

Gabriel Fauré, encore et toujours, avec une nouvelle version de son incontournable Requiem

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