«Ils fument des joints de 40 cm. Et la police les regarde !» : à Paris, les habitants de Marx Dormoy, devenu «Kabul City», demandent des comptes

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REPORTAGE – Des résidents se sont réunis en présence d’élus, dont Danielle Obono, députée LFI de ce 18e arrondissement en proie aux vendeurs à la sauvette afghans qui règlent leurs comptes en pleine rue.

«Nous faisons partie des gens qui ont toujours tout accepté. Eh bien, ras le bol». Dans le hall d’un petit hôtel adjacent à la rue Marx Dormoy, dans le 18e arrondissement de Paris, une centaine de riverains du quartier La Chapelle expriment leur colère ce vendredi soir. Cette réunion est née d’une altercation particulièrement sanglante survenue le 31 août dans leur quartier. Un samedi en pleine matinée, des membres de la communauté afghane se sont affrontés au couteau et à la machette, faisant sept blessés. Le secteur a été bouclé pour permettre l’intervention des secours et des forces de l’ordre.

Excédés, les riverains ont écrit à la mairie, la préfecture de police et la députée LFI, Danielle Obono, pour proposer un échange franc et transparent. Au cœur de la grogne figurent les vendeurs à la sauvette. Jeunes Afghans pour la plupart, ils troquent leurs cigarettes de contrefaçon ou des tickets RATP à la sortie du métro La Chapelle, faisant du quartier un nid de contrebande…

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