Gabriel Attal, un goût d’inachevé et une ambition intacte

Partager


RÉCIT – Moins de huit mois après avoir été nommé premier ministre, Gabriel Attal quitte Matignon. Un premier accroc après sept ans d’ascension fulgurante. Son départ s’accompagne d’une rupture politique avec le chef de l’État.

Un petit tour et puis s’en va. En découvrant le nom de son successeur ce jeudi, Gabriel Attal clôt un bail de moins de huit mois à Matignon. Conséquence logique de la défaite macroniste aux élections législatives anticipées du début de l’été. Après une dissolution qu’il n’attendait pas, actée par celui dont il s’était rêvé héritier.

51 jours de sursis, et inédits, dans le costume de premier ministre démissionnaire n’auront pas adouci l’amertume de ce départ. Il quitte la rue de Varenne avec ce record peu enviable, aussi vite qu’il y était arrivé auréolé à 34 ans du titre prometteur de plus jeune premier ministre de la Ve République. Un passage éclair, à l’image de son ascension politique des sept dernières années. Faites de coups spectaculaires, le plus souvent furtifs et pas toujours aboutis. Jamais il ne fut resté plus longtemps en poste que comme porte-parole du gouvernement (22 mois), où il a excellé par son sens de la communication et son maniement des formules appréciées…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 90% à découvrir.

Vente Flash

1,99€ par mois pendant 6 mois. Sans engagement.

Déjà abonné ?
Connectez-vous



#Gabriel #Attal #goût #dinachevé #une #ambition #intacte

Source link

Home

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut