En Bourse, Engie semble excessivement pénalisé par le risque politique français

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Le site de stockage de gaz naturel de Chémery, au sud de Blois, est exploité par Storengy, l’une des filiales d’Engie.
Engie

NOTRE CONSEIL ACTION SUR ENGIE – Moins décrié que TotalEnergies, l’énergéticien qu’est Engie a lui aussi souffert, en Bourse, du risque politique venu de France. Mais gare aux exagérations, et tout a un prix.

Pour les actionnaires d’Engie, l’année 2023 s’était terminée sur une note positive, avec un titre en hausse de près de 19%. Une performance pratiquement en ligne avec elle du CAC 40.

Dans les premiers jours de 2024, la dynamique s’est poursuivie et le titre s’est même approché, le 10 janvier, des 17€, ce qui n’était plus arrivé depuis 2015. Las: le voilà maintenant repassé sous 14€ d’où, depuis le dernier réveillon, une baisse d’environ 15%, alors que le CAC 40 est stable.

Brutale normalisation des ventes, pas des résultats

Est-ce lié aux récentes publications? Certes, au 1er trimestre, le chiffre d’affaires a dégringolé, en données organiques, de près de 25% à 22 milliards d’euros. Ce qui est logique: après la flambée inflationniste qui a touché notamment le gaz, l’heure est maintenant à «une accélération de la normalisation du marché de l’énergie». En outre, les températures hivernales ont été relativement peu froides.

Les comptes correspondants se seraient-ils effondrés? Non pas: le résultat d’exploitation ajusté (hors nucléaire, géré en…

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