DIRECT. Nouveau gouvernement : après son entretien avec Barnier, Wauquiez salue « un Premier ministre qui n'est pas sous l'influence de LFI »

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13:35

Le groupe macroniste n’aura « ni volonté de blocage, ni soutien inconditionnel » au gouvernement Barnier, déclare Gabriel Attal

13:17

Pour Anne Hidalgo, le PS a empêché la nomination d’un Premier ministre de gauche

La maire de Paris Anne Hidalgo a déploré ce vendredi, en marge d’une conférence de presse, la position de son parti, le Parti socialiste, lors des négociations pour Matignon, rapporte Franceinfo. « On aurait pu avoir un Premier ministre de gauche » mais « c’est mon parti qui a empêché sa nomination. Comment on a pu, à ce point, passer à côté de l’histoire ? », a-t-elle déclaré, exprimant « sa colère profonde ».

12:59

Pour Clémentine Autain, « le président de la République s’assoit sur la démocratie »

« Je pense qu’il y a un problème de crise de régime et que le président de la République s’assoit sur la démocratie », a déclaré sur franceinfo la députée NFP Clémentine Autain, parlant de « déni de démocratie, de coup de force antidémocratique » après la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre. « Ce qui me choque terriblement c’es qu’Emmanuel Macron a été élu à deux reprises pour empêcher Marine Le Pen d’arriver au pouvoir » et qu’il « nomme un Premier ministre qui est RN compatible ». Cette situation « produit de la colère, du ressentiment en barre, de la haine et du dégout vis à vis de la politique » dans la population, selon elle.

12:44

Michel Barnier a « tous les atouts pour réussir », assure le sénateur LR Bruno Retailleau

« On est heureux que ce soit une personnalité comme celle de Michel Barnier, qui vienne de LR, de notre famille politique, il a tous les atouts pour réussir », a déclaré, après avoir été reçu par Michel Barnier, le sénateur LR, président du groupe parlementaire, Bruno Retailleau. Il déclare avoir demandé au nouveau chef du gouvernement « quel Premier ministre il compte être : est-ce que ce sera un Premier ministre collaborateur, auquel cas cela pourrait être sans nous. Ou est-ce que c’est un Premier ministre de plein exercice ? »

12:28

Michel Barnier à l’Elysée

Le nouveau Premier ministre est à l’Elysée pour une réunion de travail avec le président de la République.

12:20

« Très bien »

Les consultations entamées par le nouveau Premier ministre Michel Barnier avec les forces politiques en vue notamment de constituer un gouvernement se passent « très bien », elles sont « pleines d’énergie », a affirmé le chef du gouvernement en quittant Matignon pour se rendre à l’Elysée. 

Pour le moment, Michel Barnier a rencontré Gabriel Attal pour Renaissance, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau pour LR avec le président LR du Sénat Gérard Larcher.

12:16

Info Le Parisien

Trois entretiens au menu de Michel Barnier

Demain, le nouveau Premier ministre Michel Barnier recevra, selon les informations de nos journalistes politiques, l’ancienne locataire de Matignon Elisabeth Borne, puis la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet. 

Dimanche, il s’entretiendra avec Edouard Philippe, qui reste le Premier ministre au plus long mandat sous Emmanuel Macron (plus de trois ans).

12:04

Info Le Parisien

Michel Barnier au 20 Heures  ce soir

Le nouveau Premier ministre s’exprimera ce soir, au journal de 20 heures de TF1.

12:00

Wauquiez conditionne le soutien de LR au programme de Barnier

« On a contribué à débloquer la situation. On a un Premier ministre, c’est important. Il n’est pas sous l’influence de la France insoumise, c’était pour nous fondamental. Pour autant notre question reste pour quoi faire », affirme, à l’issue de son rendez-vous avec Michel Barnier à Matignon le chef de file des députés LR à l’Assemblée Laurent Wauquiez. Il assure que les échanges avec le nouveau chef du gouvernement « sont amenées à se poursuivre » et que c’est « en fonction » du programme déroulé par Barnier « que les décisions seront prises ». Il a redit les quatre priorités des LR: le pouvoir d’achat par le travail, les finances publiques, l’immigration et la sécurité.

Laurent Wauquiez ( au centre) a été reçu par Michel Barnier en même temps que Bruno Retailleau et Gérard Larcher ce vendredi à Matignon. AFP/Thomas Samson

11:46

La « méthode Barnier », loin de celle de Macron

La députée LR de Savoie Emilie Bonnivard, proche du nouveau Premier ministre, affirme sur BFM que « la méthode Barnier, c’est une méthode du dialogue, de l’ouverture, une méthode tout sauf sectaire, mais qui une fois qu’il a décidé d’un chemin, l’applique avec clarté ». Et d’ajouter que « c’est une méthode en rupture avec ce que nous avons connu depuis sept ans ».

11:30

Le contrepied de Cédric Herrou

A contrecourant de la gauche qui s’insurge de la nomination de Michel Barnier avec le soutien de Marine Le Pen, contre le front républicain demandé aux électeurs contre le Rassemblement national il y a deux mois, Cédric Herrou, cet agriculteur niçois très engagé dans l’aide aux migrants en situation irrégulière, demande « aux électeurs du RN comment ça fait d’avoir voté pour un parti Macron-compatible? »

11:12

« Ca va sans doute prendre 10 ou 15 jours »

Sur le plateau de BFM, l’ancien président de l’Assemblée nationale François de Rugy, plutôt ouvert à la nomination de Michel Barnier à Matignon, affirme que la composition du gouvernement « va sans doute prendre 10 ou 15 jours », compte-tenu de la difficulté de l’exercice.

11:03

Immigration : Hamon s’inquiète d’un nouveau tour de vis

L’ancien candidat socialiste à la présidentielle s’inquiète: alors qu’une loi immigration a été votée en décembre dernier «avec le soutien de Marine Le Pen et de l’extrême droite », « on entend déjà parler de faire pire », dit-il, inquiet de tant de « misère morale et politique ».

10:52

Barnier ce « barycentre » de l’axe macroniste, pour Faure

« Barnier est au barycentre des droites et de l’extrême droite », reproche Olivier Faure sur X. Le premier secrétaire du Parti socialiste estime Emmanuel Macron loin de la « clarification » avec ce choix, mais au contraire qu’il poursuit sur « son axe ».

10:41

« On comprend le bon accueil »

Sur X, le député de Paris Pouria Amirshahi (Les Ecologistes) voit dans la nomination de Michel Barnier une « insulte » à « tous les électeurs qui on fait barrage » au Rassemblement national. « On comprend le bon accueil de Le Pen », regrette-t-il.

10:27

Anticor retrouve son agrément anticorruption

Par un décret signé hier par Gabriel Attal – sur décision de justice – et publié ce matin au Journal officiel, l’association Anticor, dont la perte d’agrément avait fait grand bruit, peut de nouveau exercer les « droits reconnus à la partie civile » dans la « lutte contre la corruption ».

10:16

La marque de Kohler

Depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, tout le monde y voit la signature : d’Alexis Kohler, le puissant secrétaire général de l’Elysée, ardent partisan d’un Premier ministre « technique » pour diriger le gouvernement. Le même dont l’ancien ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer fustige dans un livre qui fait grand bruit, le duo tout-puissant qu’il forme avec Emmanuel Macron depuis 2019, et leur conviction que « les choses n’étaient bien faites que s’ils s’en occupaient tous les deux ». Cet article vous raconte comme Kolher a pesé pour le choix Barnier.

10:01

Simonnet dénonce un déni démocratique

Sur France Bleu Paris, la députée NFP Danielle Simonnet a estimé ce matin que la nomination de Michel Barnier est « un vol du vote des Françaises et des Français », un « déni démocratique ». Pour elle, « si Barnier a été choisi, c’est que son programme est compatible avec celui du Rassemblement National ».

09:50

Michel Barnier reçu par Emmanuel Macron à midi

Le Premier ministre sera reçu à l’Elysée à midi, a indiqué Matignon à l’AFP, confirmant une information de LCI.

09:30

Le « plaisir » de Bruno Gollsnisch

Ancienne figure du Front national, dont il a failli prendre la tête lors de la succession entre Jean-Marie et Marine Le Pen, Bruno Gollnisch se réjouit sur X que le RN soit « l’arbitre de la situation » politique.

09:07

Dupont-Aignan pour la démission de Macron, « seule solution »

«Michel Barnier incarne la soumission totale à l’Union européenne», reproche sur CNews le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, président du parti Debout la France. « Les Français attendent un changement de cap complet. Tout ça n’est que des jeux politiciens, on ne doit pas se mêler de ça. Il faut qu’Emmanuel Macron s’en aille, c’est la seule solution pour résoudre la crise politique» et les « problèmes du pays », martèle-t-il. 

08:56

Aurore Bergé pour qu’Emmanuel Macron reste en place « jusqu’à la dernière seconde »

Toujours sur France Inter, la macroniste Aurore Bergé estime que « le président de la République doit être président de la République jusqu’à la dernière seconde dans la plénitude des fonctions qui lui reviennent ». « Et uniquement celles qui lui reviennent avec un Premier ministre souverain dans la politique qu’il va mener », a-t-elle ajouté.

08:56

Corbière pour une candidature unique du NFP à la présidentielle de 2027

Rappelant qu’il avait « trois fois soutenu Jean-Luc Mélenchon », Alexis Corbière, député NFP de Seine-Saint-Denis, estime que la question pour « la prochaine fois c’est comment nous gagnons » la présidentielle. Il appelle à « réunir une majorité pour battre l’extrême droite » et se dit « pour l’unité de toute la gauche avec la France Insoumise, sinon nous perdons ». « On est à un moment où nous pouvons espérer des victoires lors des prochaines échéances », ajoute-t-il.

08:53

Pas de ministre NFP

« Lucie Castets restera notre candidate tant qu’il y aura la même configuration politique », affirme Manuel Bompard, qui promet qu’aucune personnalité du Nouveau Front populaire, donc LFI et ses alliés, ne rejoindra le gouvernement formé par Michel Barnier.

08:50

Emmanuel Macron est allé « chercher quelqu’un d’un groupe qui a fait 6% », lance Alexis Corbière

« Je ne vois pas pourquoi je ne censurerais pas » le Premier ministre Michel Barnier, a déclaré sur LCI le député NFP Alexis Corbière, « c’est un homme de droite, il mène une politique de droite ». Emmanuel Macron a « fait le choix d’aller chercher quelqu’un d’un groupe qui a fait 6% (aux élections législatives anticipées, NDLR), un des plus petits groupes (…) le plus rejeté ou le moins soutenu par les électeurs », reproche le député de Seine-Saint-Denis, qui y voit « un dévoiement du sens du vote législatif » : « il faut sanctionner ce non-respect du vote » par une motion de censure, estime-t-il.

08:48

« L’extrême droite peut être en mesure de censurer ou de ne pas censurer », justifie Aurore Bergé

Accusée par la gauche d’avoir eu l’approbation du RN avant de nommer Michel Barnier, la macronie se défend. « L’extrême droite peut être en mesure de censurer ou ne pas censurer un gouvernement », a justifié Aurore Bergé. « Notre enjeu n’est pas de quémander quoi que ce soit de l’extrême droite, mais de la mettre en responsabilité », a-t-elle ajouté sur France Inter.

08:47

« Il faut démontrer l’alternance », assure Aurore Bergé qui parle d’une « situation inédite »

La députée macroniste Aurore Bergé, ancienne ministre, appelle à « démontrer l’alternance » à la tête de l’Etat. « Je continue à espérer que tout le monde ne sera pas sur cette ligne d’intransigeance qui est celle d’Olivier Faure », a-t-elle déclaré sur France Inter. « La réussite de Michel Barnier ne sera pas individuelle ni celle d’un parti », a-t-elle ajouté. « Notre intérêt collectif est que Michel Barnier réussisse (…) Il doit incarner aussi certains changements », a précisé celle qui a confirmé que son groupe parlementaire soutiendrait Michel Barnier.

08:47

La nomination de Michel Barnier est une « victoire idéologique de l’extrême droite », pour Alexis Corbière

Le nouveau Premier ministre Michel Barnier « va mener une politique sous la bienveillance de Madame Le Pen », a lancé sur LCI le député NFP Alexis Corbière. La candidature du LR Xavier Bertrand a été écartée, selon lui, car « le RN a dit on sanctionne » par une motion de censure. Mais « Michel Barnier, le RN a dit on va voir ». Il rappelle que Michel Barnier « avait eu des mots sur l’immigration (…) il va envoyer tous les signaux en direction du groupe RN pour dire je parle votre langue », déclare Alexis Corbière, pour qui cette nomination est une « victoire idéologique de l’extrême droite. ».

08:46

Session extraordinaire : « La question est posée au président de la République »

Pour organiser une session extraordinaire au Parlement, demandée d’abord par la gauche puis par Marine Le Pen et jusqu’à Yaël Braun-Pivet, « il faut un décret d’Emmanuel Macron. La question est posée au président de la République », affirme Manuel Bompard, en rappelant que, sous la Ve, la demande a été formulée deux fois, refusée par Georges Pompidou, acceptée par Valéry Giscard d’Estaing.

La rentrée parlementaire, pour l’instant, est fixée au 1er octobre.

08:41

Bompard appelle à manifester largement demain

« Demain, on sera deux mois après les élections législatives. Participer à ces manifestations n’est pas qu’une question de colère, c’est une question de dignité. J’appelle les gens à être présents pour défendre leur honneur, pour faire respecter les aspirations qui se sont exprimées lors des élections », appelle, sur RMC et BFM TV le coordinateur de la France insoumise Manuel Bompard. « Bloquer le pays ? C’est précisément l’inverse, nous voulons lui permettre de fonctionner », martèle-t-il.

08:36

Bompard rappelle le score de LR aux législatives

« Quand une personne arrive dernière de la compétition, elle n’a pas la médaille d’or », s’agace, sur RMC et BFM TV Manuel Bompard, rappelant que les Républicains, dont est issu Michel Barnier, sont arrivés 5e le 7 juin et n’ont que 40 députés à l’Assemblée. « Vous pouvez expliquer à tout le monde que c’est ma faute, mais le président de la République a décidé de s’asseoir sur le résultat des élections législatives parce que lui ne veut faire aucun compromis », reproche le coordinateur de la France insoumise.

08:35

« Si on brise le NFP, la majorité relative à gauche n’existe plus », observe Olivier Faure

Olivier Faure observe que « si on brise le NFP, la majorité relative à gauche n’existe plus ». « Ce serait donner les coudées franches au chef de l’Etat et je ne veux pas lui donner les coudées franches. Je veux que le NFP puisse briser sa poltique. »

08:32

 « Aucune personnalité du PS ne rentrera dans ce gouvernement », assure Olivier Faure

Disant ne pas avoir été « contacté » par le nouveau Premier ministre Michel Barnier, Olivier Faure se dit certain qu’« aucune personnalité du PS ne rentrera dans ce gouvernement ». De même, Olivier Faure dit avoir « plaidé jusqu’à hier matin pour que cela soit quelqu’un de gauche » qui soit nommé à Matignon, sans donner ce matin de nom.

08:31

Olivier Faure dénonce un « déni démocratique » 

Sur France Inter, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure dénonce une « nomination incongrue qui est un véritable déni démocratique ». Interrogé sur l’hypothèse Bernard Cazeneuve à Matignon, il appelle à « arrêter de propager » une « fable » selon laquelle le PS aurait refusé qu’il soit nommé, en préférant parler du fond comme l’abrogation de la réforme des retraites plutôt que de la personnalité à la tête du gouvernement. « Vous imaginez un seul instant qu’on puisse censurer une politique de gauche ? », lance-t-il. « La question n’est pas de savoir qui, mais pour quoi faire ? »

08:30

Pas de ministre RN au gouvernement, assure Chenu

Sébastien Chenu l’affirme: aucun membre du Rassemblement national n’accepterait de rejoindre le gouvernement si Michel Barnier le leur proposait. Quant aux rares noms qui circulent, notamment Gérald Darmanin, « si l’idée est de remettre dans le gouvernement tous les ministres, quel intérêt? », ironise le député RN sur CNews et Europe 1.

08:19

« Très peu concevable » que le RN vote le budget

« Jusqu’à présent nous n’avons jamais voté le budget. Il va falloir un virage à 180° si Emmanuel Macron et Michel Barnier veulent nous voir voter le budget. Ca me paraît très peu concevable de voter le budget » pour les députés Rassemblement national, assène, sur CNews, Sébastien Chenu.

Il ajoute cependant que le RN étudiera chaque projet. « Si on nous écoute sur l’immigration, ce sera une première brique ».

08:16

« Nous avons empêché le chaos institutionnel »

« Le président de la République ne nous a rien promis et nous ne lui avons rien promis. Nous demeurons des adversaires’, affirme sur CNews et Europe 1 le député RN Sébastien Chenu. « Nous ne sommes pas sur la même ligne politique. On ne soutient pas Michel Barnier. Nous avons empêché le chaos institutionnel », « on a joué notre rôle à partir du moment où on nous a demandé notre avis », poursuit le vice-président du RN.

08:08

Pannier-Runacher « de gauche », Bompard rasta

En une saillie matinale sur X, Manuel Bompard a réagi aux propos, hier soir, de la ministre démissionnaire de l’Agriculture Agnès Pannier-Runacher se disant « de gauche ». « Et moi j’ai des dreadlocks » a ironisé le coordinateur de la France insoumise, dont la coupe de cheveux n’a pas changé pendant l’été.

08:06

Un ministre RN ?

Sur France 2, Laurent Jacobelli (RN) affirme qu’il refusera, si Barnier l’appelle, de rejoindre le gouvernement. S’il appelait, « je lui dirais que c’est très gentil mais que je refuse. Nous sommes dans l’opposition. On veut une politique contre l’immigration submersive, beaucoup plus de sécurité, beaucoup plus de pouvoir d’achat, et nous ne donnons quitus à personne ». 

07:56

Castets n’a « pas touché un euro » du NFP

« Abasourdie » par les informations qui ont été relayées, indiquant qu’elle avait demandé une importante rémunération pour rétribuer tout le temps et les efforts passés à tenter d’arracher Matignon, Lucie Castets l’assure : «  je n’ai pas touché un seul euro d’aucun parti du NFP ». Elle évoque un « devis » qui lui avait été transmis, pour couvrir ses frais et la rémunération de son équipe après ses congés, auquel « nous n’avons pas donné suite ». « Je trouve ça extrêmement déconcertant que ces informations soient publiées sans être vérifiées », conclut-elle.

07:55

Macron et Cazeneuve, même programme pour Castets

« J’ai entendu partout que nous avons répété à l’envie le programme rien que le programme, c’est absolument faux, (…) je n’ai eu de cesse de dire: on ira chercher des accords texte par texte, (…) nous avons passé notre été à travailler pour chercher les textes sur lesquels il était possible de bâtir des compromis », dit-elle sur RTL. 

Au sujet de la nomination de Bernard Cazeneuve, la candidate officielle du NFP estime que « le programme, le mandat, n’a jamais été clair ». « Monsieur Macron souhaitait simplement la perpétuation de la politique qu’il a menée depuis sept ans », juge-t-elle. 

07:49

« Macron a fait l’affront républicain », ironise Marine Tondelier

Pour Marine Tondelier, Emmanuel Macron « a fait l’affront républicain » après avoir participé au front républicain et face au Nouveau Front populaire. 

« Le seul but d’Emmanuel Macron, c’était de ne pas descendre du manège à la fin du tour et surtout de ne pas changer de politique, car il sert des intérêts qu’il ne voulait pas abandonner », lance Marine Tondelier.

07:48

« La motion de censure sera déposée dans les plus brefs délais », assure Marine Tondelier

Marine Tondelier, qui se demande « jusqu’à quand va durer l’hypocrisie », assure que la motion de censure du Nouveau Front populaire contre Michel Barnier « sera déposée dans les plus brefs délais », sans donner plus de détails. 

07:48

Quel programme, s’interroge Castets

« 2022, c’était il y a deux ans, j’imagine que Monsieur Barnier n’a pas tout à fait changé », estime Lucie Castets, lui reprochant ses positions sur le financement de l’IVG, la décriminalisation de l’homosexualité, sa volonté de supprimer l’Aide médicale d’Etat, de mener une politique anti-immigration. 

07:46

Barnier « dépendant du RN » pour Castets

« Comme des millions d’électeurs Français qui se sentent trahis, on a attendu 59 jours, tout ça pour ça », « et aujourd’hui on a un Premier ministre dépendant du Rassemblement national », tempête, sur RTL, Lucie Castets. Et d’ajouter que le « gouvernement Barnier est suspendu à la décision du RN de voter ou non la motion de censure, il est suspendu à son bon vouloir ».

07:45

Le RN voterait-il la confiance

« Nous sommes une opposition résolue, ferme, mais intelligente », répond Laurent Jacobelli (RN) à la question de voter la confiance au nouveau Premier ministre après son discours de politique générale. « C’est tout de même peu probable qu’il demande la confiance ou que nous la votions » mais « nous ne voulons pas ajouter du chaos au chaos ».

07:43

« Il faut arrêter de vendre Bernard Cazeneuve comme une solution qui aurait dû être évidente », lâche Marine Tondelier

Sur TF1, la secrétaire nationale des Ecologistes Marine Tondelier revient sur l’hypothèse Bernard Cazeneuve, dont le nom a circulé pour Matignon. « Il n’a soutenu le Nouveau Front populaire ni de près ni de loin, alors que de Philippe Poutou à François Hollande, tout le monde a été au rendez-vous », a-t-elle lancé. « Il faut arrêter de vendre Bernard Cazeneuve comme une solution qui aurait dû être évidente. Si le programme du Nouveau Front populaire lui avait tenu à cœur, il serait venu nous aider. »

« Rien de ce qui a été à gauche d’Emmanuel Macron n’a jamais été sérieusement envisagé », a-t-elle également affirmé en estimant que Michel Barnier était « le plan depuis le départ ».

07:41

« On sort de sept ans de macronisme »

« Le nouveau Premier ministre a déclaré qu’il voulait travailler avec toutes les formations politiques, c’est noté », réagit sur France 2 Laurent Jacobelli. Pour le porte-parole du RN et député, « on sort de sept ans de macronisme », « on ne va pas continuer avec ce système qui rend les Français extrêmement malheureux ».

07:30

Si vous l’avez manquée

Hier à 18 heures s’est déroulée la passation de pouvoir entre Gabriel Attal et Michel Barnier. Le premier a prononcé un discours trop long au goût du second, qui a réclamé la parole un peu sèchement. Cet article vous raconte l’ambiance et le contexte, celui-ci les éléments à retenir.

07:15

Morne soirée au PS

Hier soir se tenait le Bureau national du Parti socialiste, qui a démontré combien les responsables du parti s’étaient divisés autour du nom de Bernard Cazeneuve. Les courants minoritaires ont déploré une occasion manquée d’un gouvernement de gauche, la direction affirmant qu’Emmanuel Macron n’avait jamais réellement envisagé de le nommer.

Le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol et la maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy, favorables à Bernard Cazeneuve, ont répété qu’il aurait fallu donner une chance à cette option. « Même s’il n’y avait que 5% de chances, ça valait le coup d’essayer », a expliqué à l’AFP un proche de Mme Geoffroy. « Ca permettait de montrer qu’on était prêt à jouer la partie ».

Contexte

Ce sera finalement… Michel Barnier !

Près de deux mois après le second tour des élections législatives anticipées, l’identité du futur Premier ministre a été dévoilée jeudi en début d’après-midi. Après avoir un temps envisagé le socialiste Bernard Cazeneuve et le républicain Xavier Bertrand, Emmanuel Macron a finalement nommé Michel Barnier

Le nouveau Premier ministre promet « des changements et des ruptures »

Lors de son premier discours à Matignon jeudi soir, à l’occasion de la passation de pouvoirs de Gabriel Attal, Michel Barnier a promis « des changements et des ruptures ». « Il s’agira de répondre, autant que nous le pourrons, aux défis, aux colères, aux souffrances, au sentiment d’abandon, d’injustice », a-t-il déclaré. Il assure que « l’école restera la priorité du gouvernement » et évoque aussi « l’accès aux services publics », « la sécurité au quotidien », « la maîtrise de l’immigration », le travail et le pouvoir d’achat.

La gauche en colère, le RN observateur

Au sein du Nouveau Front populaire (NFP), on dénonce largement un « mépris du vote des Français » aux dernières élections législatives. Du PS à La France insoumise, la menace d’une motion de censure est d’ores et déjà agitée et un vaste mouvement de contestation doit avoir lieu dans la rue samedi 7 septembre. 

Alors que Les Républicains fêtent une victoire inattendue, le Rassemblement national, pourtant très critique de la politique menée par Michel Barnier à l’échelle européenne, ne censurera pas par principe. Le parti d’extrême droite demande des gages au nouveau Premier ministre, notamment en matière d’immigration. 



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