Sans les bras nécessaires, en salle et en cuisine, Yanic va s’adapter. « Nous allons fermer l’après-midi, contrairement aux étés précédents. Je n’ai pas le choix. Je vais essayer sept jours sur sept, mais je ne suis pas sûr de tenir, il faut que tout le monde se repose à un moment », souffle-t-il, désemparé. Il a pourtant, à ses yeux, « tout fait » pour attirer de la main-d’œuvre. Un salaire « décent », dit-il, avec au moins 2 000 euros net, et un logement à prix réduit dans un studio dont Yanic est propriétaire. « Même avec tout ça, c’est compliqué… Nos métiers ne sont plus assez attractifs pour la nouvelle génération », se désole-t-il.
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