L’art délicat du «dirty talk», ou comment un langage cru peut booster le désir

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Les fantasmes sexuels et l’imaginaire érotique agissent comme une zone érogène à part entière.
olly – stock.adobe.com

User d’un vocabulaire fleuri dans l’intimité est une petite excentricité qui, à condition qu’elle soit librement consentie par les deux partenaires, peut aider à réveiller le désir.

À l’ère post-Metoo, il est de ces pratiques sexuelles qui interrogent. C’est le cas du « dirty talk », cet art de parler de façon osée, souvent crue, parfois vulgaire, à son ou sa partenaire, de lui confier ses fantasmes, ses désirs, ses ressentis les plus inavouables. Quitte à adopter un langage fort peu respectueux. Alors, toujours possible, le « dirty talk » ? Oui, avec certaines précautions…

Pour certains, ces confidences triviales pimentent les ébats. « J’aime beaucoup ça ! raconte Béatrice, 47 ans. Me sentir soumise, même humiliée, injuriée. Ça m’excite terriblement. Mais il faut comprendre que c’est un jeu. » A-t-il encore le droit d’être joué dans l’intimité ? « Il ne faut pas tout mélanger. Ce qui est réac, c’est de penser que ça puisse l’être ! De supposer que la personne n’a pas le choix de dire oui ou non. Cédric ne me parle sur ce ton que lorsque nous faisons l’amour. »

Indispensable consentement

Le recours au coquin ou au salace, qui peut…

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