Bernard Pivot au Figaro littéraire, un débutant prometteur

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Bernard Pivot, lors de l’émission «Apostrophes», le 23 octobre 1987, à Paris.
GEORGES BENDRIHEM/AFP

RÉCIT – En 1958, l’ancien animateur d’Apostrophe fait une entrée remarquée au sein du journal. À 23 ans, il découvre un monde façonné par l’écriture romanesque.

En 1958, Bernard Pivot fait une entrée remarquée au Figaro littéraire. Non pas à cause de la cravate qu’il porte tous les jours (même au mois d’août) mais parce qu’il a 23 ans et que les autres rédacteurs ont tous l’âge d’être son père. Cheveux noirs, mince, l’allure élégante, le jeune homme est le parfait archétype du héros balzacien, un provincial monté à la capitale. Au sein du journal, il découvre un monde façonné par l’écriture romanesque. « Nous avons connu le journalisme comme au temps de Balzac, se souvient l’écrivain Jean Chalon. C’était probablement son âge d’or ! »

À cette époque, Le Figaro littéraire est un journal à part entière. Il couvre la vie de l’édition et de la librairie mais aussi le tourisme, l’actualité, le sport, l’économie. Il s’intéresse à la « petite histoire », c’est-à-dire à « l’histoire perçue par le prisme des événements du quotidien ». Ainsi, Maurice Noël, rédacteur en chef du Littéraire de 1946 à 1961, peut fièrement annoncer à ses lecteurs&nbsp…

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