RÉCIT – Une arrivée à Nice, Paris et la moitié nord de la France délaissées, toute une logistique nouvelle a été mise en place pour cette édition particulière de la Grande Boucle.
Envoyé spécial à Bologne
Le Tour de France et les Jeux olympiques de Paris ont cohabité en 1924 avec une arrivée en fanfare au Parc des Princes alors que le stade de Colombes est en fusion du 5 au 27 juillet en ces huitièmes Olympiades. Un siècle plus tard, le Tour a pris ses quartiers d’été en Italie au moment du lancement pour terminer l’aventure dans trois semaines à Nice.
Une première dans l’histoire maritale de la Grande Boucle et Paris. Et une nouvelle organisation. « Les années olympiques sont toujours particulières, rappelle Pierre-Yves Thouault le directeur adjoint de la Grande Boucle. Le Tour débute le premier samedi du mois de juillet mais, les années olympiques, il est avancé d’une semaine. Dès le début, nous avions pris l’engagement de ne pas aller à Paris parce que, même si le Tour n’est pas aussi consommateur de service d’ordre, il faut néanmoins des forces de sécurité assez importantes pour encadrer le Tour. Ensuite, la cérémonie d’ouverture ayant lieu sur Paris, on savait…
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