Ambitions, cécifoot, Griezmann… Les mots de Didier Deschamps avant France-Italie

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Le sélectionneur des Bleus était présent en conférence de presse, ce jeudi, avant la rencontre face à la Squadra Azzurra, ce vendredi soir (20h45).

L’ambition dans le jeu

«On est toujours dans la même logique, de faire en sorte d’être le plus dangereux pour l’adversaire, d’avoir le plus de maîtrise et de marquer des buts. Après tout dépend de ce que fait l’adversaire. Notre manque d’efficacité nous a pénalisés pendant la compétition, même si on a atteint les demi-finales. On n’est pas dans un contexte de compétition. Il y a deux matches à gérer en trois jours. Peu importe qui jouera, l’objectif sera d’obtenir le meilleur résultat en ayant le meilleur contenu. Je considère que c’est le moment de concerner le maximum de joueurs pour commencer l’un des deux matches, même si ça peut jouer sur les automatismes. On reste sur l’objectif clair, d’être le plus dangereux possible.»

Les critiques dans le jeu

«On n’a jamais eu autant de supporters au stade, en Allemagne [à l’Euro 2024, ndlr]. On a partagé de belles émotions, sans être allé au bout et avec la déception d’être éliminé en demi-finales. On a eu un engouement populaire important, avec la parenthèse des Jeux olympiques. Le sport a cette capacité de réunir, le temps d’un instant. Il peut y avoir des personnes déçues mais ils aiment l’équipe de France et ils la soutiennent. C’est à nous de maintenir ce lien, de le cultiver. Les joueurs ont besoin de cet amour et de ce soutien. Ils nous le rendent bien, à travers les déplacements.»

Le fait de ne pas connaître le début des éliminatoires du Mondial 2026

« Forcément, le temps sera plus ou moins long. Même si c’est l’espace de trois rassemblements, pour franchir des étapes, ça passe par voir les joueurs en action. Ces six matches-là [jusqu’en novembre, ndlr] serviront à beaucoup de joueurs, et à l’expression collective certainement. Après ça dépendra des résultats qu’on obtiendra. On pourra avoir des réponses un peu plus précises sur des joueurs avant de faire des choix pour une liste pour une compétition.»

Les petits pépins physiques de Jonathan Clauss et Brice Samba

«Jonathan Clauss a eu une petite gêne musculaire. Brice Samba a eu un petit souci qu’il a depuis le début de saison. Tout le monde avant la séance d’aujourd’hui est disponible.»

Sur Antoine Griezmann

«Des discussions, j’en ai toujours. C’est sans doute avec Antoine que j’en ai le plus car il est là depuis longtemps. Il a eu des périodes plus heureuses, moins heureuses. Qu’il ne soit pas encore à 100%, comme d’autres joueurs, il rentrera dans une gestion du temps de jeu. Si l’ensemble de l’effectif est à 100%, c’est mieux. Mais ce n’est pas le cas. Les échanges sont permanents. Je lui avais parlé pendant l’Euro et entre les compétitions. C’est important, pour les mettre en confiance. Je leur dis les choses positives, négatives pour le bien du collectif. Il a fait de très bonnes choses, parfois de moins bonnes, à lui de tout faire pour avoir la meilleure condition possible. Il a une influence importante.»

Son avis sur les nouveaux

«Ils se connaissent puisqu’ils ont été ensemble lors des Jeux olympiques. Ils n’ont pas le même caractère et ne jouent pas au même poste. Mais ils ont cette capacité à être à l’aise, décontractés. Ils sont très heureux d’être là aujourd’hui. Il y aura pour eux des étapes à franchir, des difficultés. Je suis là pour les accompagner, pour les mettre en confiance. Il y a aussi l’environnement. Ce n’est pas facile d’être libéré, parfois ça met plus de temps.»

Sur le cécifoot

«J’ai regardé. Bravo à eux (aux Bleus, ndlr). Au tout début, je ne me souviens plus quand, ils m’avaient fait participer, c’était un plaisir. On se rend compte de la complexité, de la difficulté. Eux, ils maîtrisent, ils ont des repères. Avec eux, je n’avais aucun repère. Il y a un engouement. Ils sont là. Ils ont la possibilité, je l’espère, d’avoir une médaille. Je suis à fond derrière eux.»

Son avis sur l’Italie

«Je ne vais pas juger l’Italie car je ne connais pas tout ce qu’il s’est passé. Il faut demander à Luciano Spalletti. L’Italie continue d’être compétitive. Luciano Spalletti a changé plusieurs joueurs depuis l’Euro, en raison de blessures et pour d’autres raisons. L’Italie reste l’Italie. Elle joue toujours avec l’envie de bien faire. C’est toujours un rival amical.»

Sur Adrien Rabiot

«C’est une situation embarrassante. Il avait du choix après la fin de son contrat. Il a été sollicité par plusieurs équipes mais il n’a pas encore décidé …Sans équipe, sans entraînements, sans compétition…J’espère qu’il va vite choisir une équipe qui pourra le ramener avec nous.»

L’objectif en Ligue des nations

«L’objectif c’est toujours d’obtenir les meilleurs résultats. Ça dépendra aussi de comment ça se passe en mars, et ça aura des conséquences, car il y aura aussi un final 8…Je considère, à travers la Ligue des nations, qu’on a la nécessité, de par la proximité des matches et le calendrier surcharger, de voir le maximum des joueurs.»

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