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«Comme d’habitude, c’est l’opacité totale»: à Sciences Po, un poste de directeur à haut risque dans un contexte sensible

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ANALYSE – Alors que la «short list» sera arrêtée le 1er juillet, une dizaine de noms circulent. Mais l’école, coutumière des crises de succession, récemment occupée par des militants propalestiniens, fait moins rêver. Surtout à l’approche des législatives.

La mariée n’est plus jugée si belle. À l’évidence, le poste de directeur de Sciences Po Paris fait moins rêver qu’en 2013, lorsqu’il s’agissait de succéder à l’emblématique Richard Descoings, ou qu’en 2023, après le départ précipité de Frédéric Mion, emporté par l’affaire Duhamel. Si les noms des anciens ministres Najat-Vallaud Belkacem, Jean-Michel Blanquer, Rima Abdul Malak, Clément Beaune, Agnès Buzyn et Aurélien Rousseau, ou encore de l’ancien président du Conseil des ministres italien Enrico Letta, ont été annoncés en mars dans la presse pour briguer la succession de Mathias Vicherat – renvoyé devant la justice dans un dossier de violences conjugales, après avoir porté la lutte contre les violences sexistes et sexuelles comme directeur de l’école -, il n’est plus rien resté dans les candidatures effectivement déposées le 19 juin.

Terrain miné

Il faut dire que le terrain est objectivement miné. La faute aux crises de succession qui secouent l’institution, leur répétition démontrant qu’elle ne sait…

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