Quatre ans après l’album de reprises Frenchy, le musicien revient avec un nouveau disque tourné vers la pop, sans renier ses amours pour le jazz manouche. En résulte un disque à son image, singulier et plaisant, qu’il défendra sur scène en 2025.
Et lui, et lui, et lui… Difficile d’être plus altruiste en interview que Thomas Dutronc. Invité à décrire son état d’esprit à l’heure de la sortie de son nouvel album, Il n’est jamais trop tard, le jeune homme de 51 ans se plaît davantage à mettre en avant le travail de ses camarades musiciens. À l’instar de son vieux complice David Chiron, qui lui a offert d’entraînantes mélodies taillées pour le registre pop malgré son éclectisme. « Un vrai personnage, fan de reggae, de flûte japonaise ou de rythmes de l’Est, que j’ai initié de mon côté à la guitare manouche », indique-t-il. Un tandem efficace, tant le disque brille par la parfaite harmonie entre les airs rafraîchissants de l’un et les textes joyeusement nostalgiques de l’autre. Mêmes éloges pour son manager, ses ingénieurs du son ou le grand guitariste de jazz Stochelo Rosenberg, qui joue sur son disque et avec lequel il a donné plusieurs représentations durant l’année écoulée.
Rencontrer Thomas Dutronc, c’est pénétrer…
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