Tata, de Valérie Perrin: elle s’appelait Colette

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CRITIQUE – Une histoire émouvante entre polar et roman social.

Imaginez la chose suivante. Un capitaine de gendarmerie d’un petit village de Bourgogne vous appelle pour vous annoncer la mort de votre tante. Or, votre tante en question est décédée… trois ans auparavant! Il y a forcément erreur, vous direz-vous. Et c’est d’ailleurs ce que pense Agnès, la narratrice de Tata. Pourtant, les faits sont là. Alors qu’elle se rend à la morgue de l’hôpital de Gueugnon, elle doit le reconnaître, le corps étendu sous le drap, «son visage, son cou, ses épaules. Elle a un peu maigri. Elle a vieilli. C’est elle, sans être elle. Mais c’est elle». On imagine sans mal les questions qui affluent. Qui repose à la place de sa tante au cimetière, de quoi vivait sa vraie tante, et surtout, pourquoi a-t-elle laissé croire qu’elle était morte?

S’ouvre alors Tata, une incroyable enquête autour d’une femme en apparence totalement banale. Colette Septembre. Le corps petit et les yeux immenses, une cordonnière, fan du football club de Gueugnon, amatrice du commissaire Maigret

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