La lumière vacillante, de Nino Haratischwili: guerre et paix

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CRITIQUE – Plus de 700 pages, une dizaine de personnages, une fresque humaine sur plus de trente ans en Géorgie… Un grand roman sur la révolte et l’amitié.

En cette rentrée littéraire, parmi les têtes d’affiche étrangères, on lui préfère les noms de James Ellroy ou de Michael Cunningham. Pourtant, la Géorgienne Nino Haratischwili n’a pas à rougir de son texte La Lumière vacillante. Il est brillant. Il est un roman impressionnant, d’abord, par ses dimensions: plus de 700 pages, une dizaine de personnages, une fresque humaine sur plus de trente ans, et il est un roman fascinant, ensuite, à la fois russe par sa révolte existentielle et allemand par sa profondeur psychologique. Un roman du XIXe écrit au XXIe siècle. Prodigieux.

Bruxelles, 2019. Dans une salle baignée par le soleil printanier, Keto déambule, les yeux fixés sur ses souvenirs. Devant elle sont exposées des dizaines de photos en noir et blanc prises par sa défunte amie et photographe Dina. Keto en est un personnage principal comme ses anciennes camarades qui doivent venir assister à cette rétrospective. Et justement, les voilà qui entrent. Il y a Ira, brillante avocate devenue une…

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