Groq, la start-up qui veut mordre les mollets de Nvidia dans les puces IA

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La start-up californienne vient de lever 640 millions de dollars pour muscler ses capacités de production de semi-conducteurs dédiées à l’IA. Le marché est estimé à 1000 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie.

Derrière le géant Nvidia, plus intouchable que jamais, la concurrence continue de s’aiguiser dans le secteur des puces dédiées à l’IA. La start-up californienne Groq, fondée en 2016, a annoncé lundi soir une levée de fonds de 640 millions de dollars. Fondée par des anciens de Google, la jeune pousse commence à se faire un nom parmi les rivaux déclarés à la domination de Nvidia dans les composants permettant de faire tourner les modèles d’IA.

Des spécialistes comme AMD, Intel, Arm mais aussi les géants Microsoft, Google, Amazon ou encore Meta sont tous partis à la poursuite des cartes graphiques (GPU) de Nvidia, dont la part de marché atteint 80% selon les analystes. Jonathan Ross, l’un des fondateurs de Groq, est une figure de l’industrie des semi-conducteurs. Chez Google, c’est l’un des concepteurs des «tensor processing unit» ou TPU, des circuits intégrés permettant de faire tourner des modèles d’IA dans les data centers du géant de Mountain View.

Ayant installé son siège à moins…

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