Les championnes olympiques en titre, et grande favorite à leur succession, ont passé l’écueil des quarts de finale.
Envoyé spécial à Lille
Il y a d’abord eu l’effet waouh. Les Bleues découvrant l’ambiance extraordinaire du stade Pierre-Mauroy, ses tribunes haut perchées pour accueillir 27.000 supporteurs chauffés à blanc pour soutenir les championnes olympiques en titre. Après leur qualification pour les demi-finales, aux dépens des Allemandes (26-23), elles avaient toutes les yeux encore brillants de plaisir et d’émotion au moment d’évoquer cette frénésie. «Je n’avais jamais joué dans une salle d’une aussi grande capacité. Franchement, il n’y a pas de mots», savourait l’arrière Laura Flippes. Sa capitaine, Estelle Nze Minko, n’en revenait toujours pas. «C’était plus fort que ce que nous avions rêvé. La hauteur de la salle, des tribunes, ce bruit, cette Marseillaise… C’était magique. Nous sommes trop contentes d’avoir la chance de vivre ça…»
Une ambiance fantastique, de feu et de folie, comme on ne pouvait pas en rêver il y a quelques années
Olivier Krumbholz
Sélectionneur de tant de campagnes depuis plus de trois décennies, Olivier Krumbholz regardait avec tendresse ses filles s’extasier de cette belle…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 72% à découvrir.
Vous avez envie de lire la suite ?
Débloquez tous les articles immédiatement.
Déjà abonné ?
Connectez-vous
#Handball #examen #passage #réussi #pour #les #Bleues