Des dizaines d’entre elles avaient tiré la sonnette d’alarme dans nos colonnes l’an dernier. Patricia (le prénom a été changé) fait partie de ces 3 % de femmes dont la pose de bandelettes en plastique contre l’incontinence d’effort a été suivie de complications très graves. C’est peu dire que les travaux menés au laboratoire Biotis (laboratoire de bio ingénieries tissulaires) de l’Inserm à Bordeaux, consistant à tisser un filet à partir de cellules humaines afin justement d’éviter les rejets, suscitent donc de l’« espoir » chez cette femme, qui a bien voulu nous raconter son chemin de croix.
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