PORTRAIT – Ce quadragénaire à la tête de la Porte Saint-Martin et du Petit Saint-Martin vient de prendre la direction des Bouffes Parisiens.
«Je reviens du Festival d’Anjou, je n’ai pas rangé mon bureau», prévient Jean Robert-Charrier, le directeur artistique du Théâtre de la Porte Saint-Martin (1000 places), du Petit Saint-Martin (200 places) et depuis le 10 juin des Bouffes Parisiens. Une photographie de Laurent Terzieff côtoie un portrait de la fidèle Catherine Hiegel, la Callas fait de l’œil à Michel Bouquet et une bicyclette traîne à côté du minicanapé.
«Ça fait bien cinq ans que je cherchais une salle intermédiaire de 600 places, explique le quadragénaire, soutenu par Marc Ladreit de Lacharrière (Fimalac). Il m’a suivi quand on s’est intéressés au Théâtre de l’Atelier, puis à celui d’Hébertot, puis à l’Athénée et enfin à l’Espace Cardin. Je ne saurais pas diriger n’importe quelle salle. Les Bouffes Parisiens, c’est une petite Porte Saint-Martin. On a réussi à créer une identité.»
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Jean Robert-Charrier a la même ambition pour son «nouveau» théâtre. «Je voudrais qu’il intègre vite la maison en profitant du travail que nous…
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