Le 27 avril, l’hôpital Sidra de Doha voit débarquer ce minois déformé, le côté droit tuméfié par la gangrène. Mayar est l’une des dernières Gazaouies à avoir été recueillie par l’émirat du Golfe dans son projet d’évacuation humanitaire. En blouse gris et bleu, le chirurgien Hassan Baghazal s’assied quelques minutes à l’écart. « Traiter les traumas, on a l’habitude. Là, c’est différent. »
#lhôpital #Doha #dédié #aux #victimes #Gaza #Traiter #les #traumas #lhabitude #là #cest #différent