Une série très drôle sur Netflix, écrite par Igor Gotesman et Pierre Niney, qui en tient magistralement le rôle principal.
Cet article est issu du «Figaro Magazine»
Existe-t-il un moyen plus efficace de donner envie de voir un film ou une série que de lire dans Libération (27-28 avril) que l’œuvre en question pèche par «son humour à la limite du tolérable» et contient «de bonnes idées étrangement antipathiques»? À coup sûr, se dit-on, Fiasco doit se rapprocher du ton des Nuls, des auteurs de H ou des Inconnus. C’est le cas. Sans atteindre à leur génie, les sept épisodes de cette création Netflix sont «éminemment réjouissants» (pour parler comme Libé).
Comme dans Making of de Cédric Kahn et Le Livre des solutions de Michel Gondry, Fiasco a pour thème tragi-comique un tournage qui tourne mal. Très mal. À un point inimaginable. Parce que le réalisateur, Raph (Pierre Niney, fabuleux comme il l’est trois fois sur quatre), est novice, faible et pataud.
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Parce que, conséquence logique de son tempérament, il se fait écraser par son acteur principal (Vincent Cassel) et mépriser par les équipes techniques. Parce que le scénario…
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